Kimberly-Clark, la maison mère de Kimberly-Clark Professional, célèbre ses 150 ans. Elle a été créée en 1872 à Neenah dans l’état du Wisconsin aux États-Unis, en tant qu'entreprise de papier et de papier journal. Sa première vente était une pile de papier à lettres produit à partir de chiffons et de draps recyclés dans son usine Globe de Neenah. Au début des années 1900, le fabricant a commencé à faire évoluer ses opérations à destination du marché des soins personnels. Depuis lors, il a été à l'origine de nombreuses innovations comme les serviettes hygiéniques féminines Kotex, les couches jetables Huggies, la marque Pull-Ups, le mouchoir jetable en papier Kleenex (en 1924) ou encore le premier papier hygiénique en rouleau Scott … Son leitmotiv : améliorer la vie des consommateurs et de ses clients en les plaçant au cœur des stratégies et en transformant des idées en produits innovants.
Réaffirmer son engagement dans le développement durable
À l’occasion de ce 150e anniversaire, Kimberly-Clark réaffirme son engagement en faveur du développement durable. L’entreprise s’applique chaque jour davantage à offrir le meilleur aux consommateurs, à ses clients et aux collectivités, tout en minimisant son impact environnemental. Les solutions qu'elle conçoit doivent répondre à des objectifs d’hygiène, de propreté, de confort et de développement durable. Aujourd'hui, ces produits essentiels sont pensés pour fournir des « meilleurs soins pour un monde meilleur ». Cet objectif de Better care for a better world est aussi un appel à l'action interne. Le fabricant s’efforce d'avoir un impact social qui aide à remédier aux inégalités d'accès à l'éducation, à l’hygiène, tout en travaillant à réduire son impact sur la planète associé aux plastiques à usage unique, à la dépendance aux forêts, aux émissions de carbone et à l'utilisation de l'eau, et ce notamment en utilisant plus de matériaux recyclés, renouvelables ou dégradables.
Pour prouver son engagement, Kimberly-Clark a fixé des objectifs chiffrés : réduire l’utilisation de plastique de 50 %, baisser son impact sur les fibres forestières naturelles de 50 %, diminuer ses émissions directes de 50 % (scope 1 et scope 2) et les émissions de la chaîne de production de 20 %, réduire son impact sur l'eau dans les zones soumises au stress hydrique de 50 %.