MAXX SYNBIOTIC - 50 milliards d'agents au service du nettoyage

On les connaît générale­ment pour leur utilisa­tion dans les aliments fermentés (fromages, yaourts ... ) ou dans les complé­ments alimentaires bénéfiques pour le maintien de la flore intes­tinale. Présents en abondance dans la nature, les probiotiques font en effet partie de ces micro­organismes dits « sains » que le domaine des biotechnolo­gies s'arrache pour profiter de leur vertu dans la lutte contre divers pathogènes. Alors, si ces « bonnes bactéries » sont les alliées du corps humain, pour­quoi ne le seraient-elles pas du nettoyage, un domaine de plus en plus exigeant en termes sani­taire et environnemental? C'est la conviction d'Ecolab, spécia­liste mondial en matière de durabilité offrant des solutions et services liés à l'eau, l'hygiène et la prévention des infections, qui en a fait la star de sa nou­velle gamme MAXX Synbiotic présentée en exclusivité sur le dernier Interclean. Fruit d'an­nées d'innovation, mais aussi de réflexion quant aux enjeux qui animent la profession, cette petite « révolution » en flacon s'apprête aujourd'hui à défer­ler sur l'Europe, à renfort d'ar­guments œuvrant tant pour une hygiène performante que pour la protection du vivant.

À cela pas de magie, mais de la chimie reposant sur un fon­damental : des probiotiques dont la caractéristique intrin­sèque est de se repaître de résidus organiques (protéines, graisses, huiles et amidon ... ) ; un festin rendu possible par le fait que les probiotiques sécrètent des enzymes, des petits soldats moléculaires qui décomposent la saleté en par­ticules suffisamment petites pour que ces « bonnes bacté­ries» puissent s'en nourrir. Mais pour les probiotiques, la quête de nourriture prend du temps. Alors, pour leur permettre de s'alimenter sans tarder - et ainsi leur éviter une mort pré­coce - Ecolab a fait appel à leur compagnon de fortune, les pré­biotiques. Ce sont des sucres qui vont agir comme une res­source de nourriture bienve­nue pour initier le processus de production d'enzymes, garantir la croissance et une reproduc­tion exponentielle des probio­tiques. Là était toute la com­plexité, et donc le tour de force d'Ecolab : trouver la bonne for­mule, le dosage idéal, pour que cette biotechnologie brevetée opère efficacement au contact des sols, des surfaces hautes et dans les sanitaires des bâti­ments, auxquels se destinent les cinq références brevetées de la nouvelle gamme.

Synthétisant ce combo de cata­lyseurs et d'activateurs redou­tables dans le traitement quo­tidien des supports encrassés, MAXX Synbiotic intègre en outre des tensio-actifs bio­dégradables, aux propriétés lipophiles et hydrophiles, qui permettent d'obtenir un effet détergent immédiat. Et le béné­fice ne s'arrête pas là. La nature étant bien faite, les probiotiques ont cette capacité à agir sur le long terme, et ainsi à optimi­ser la prestation de nettoyage bien plus durablement que ne le ferait un produit conventionnel. Et ce n'est pas un tour d'auto­laveuse qui en annulera l'effet: une fois le produit appliqué, le microbiome continue de s'épa­nouir, allant jusqu'à désincrus­ter visiblement joints, rainures, recoins difficilement acces­sibles, et même les matériels dans lesquels il circule. Dans cette boucle de propreté per­manente, les odeurs ne sont pas épargnées : pas besoin de surplus chimique, ni de déso­dorisant artificiel pour couvrir l'émanation des bactéries indé­sirables, dont les probiotiques font goulument le repas. Une aubaine pour les espaces com­muns brassant du public à haute fréquence, collectivités, restau­rants, maisons de retraite, qui nécessitent une attention stricte et constante portée à l'hygiène.

Et de facto, une empreinte la plus réduite possible. Intermé­diaires ou finaux, rares sont en effet les clients, comme les ache­teurs, à aujourd'hui soustraire l'aspect écologique de leur conscience et de leur démarche de nettoyage. Eco-labellisés au niveau européen, les solutions MAXX Synbiotic présentent non seulement un faible impact environnemental, mais leur statut éco-responsable s'inscrit aujourd'hui en gras au cahier des charges. Si performance et durabilité font bon ménage, le bénéfice social renforce la voca­tion de la gamme : avec « cin­quante milliards de micro-orga­nismes prêts à être activés dans chaque flacon», c'est toute une armée qui œuvre, à l'œil nu, en soutien des agents sur le terrain. Lorsqu'un produit s'avère ins­tantanément efficace tout en continuant d'agir en profon­deur de manière prolongée, c'est autant d'efforts, de pas­sages et de temps gagnés pour les forces de nettoyage. Dans un contexte de pénurie de per­sonnel et de pression exercée sur les budgets, voilà bien une science qui réconcilie à la fois les attentes de productivité, de sécurité et de protection de l'environnement.

C'est d'ail­leurs la planète qui en a soufflé l'idée !