Formes, dimensions, codes couleur tout est ajustable et personnalisable aux besoins concrets de nos clients.
Du marché grand public à l’usage professionnel, la microfibre à mémoire s’impose aujourd’hui comme une sérieuse alternative écologique à l’usage de détergents et de microfibres traditionnelles. Exit plastique, chimie et autres matières toxiques pour les hommes et l’environnement, son intérêt réside aussi dans sa durée de vie et sa rentabilité, des critères de taille au cahier des charges des opérateurs de propreté. Performance, durabilité, confort d’utilisation…, ce petit concentré de technologie n’a rien d’un simple chiffon.

Son argument : zéro détergent. Déclinée sous toutes les coutures depuis son apparition dans les années 1970, alternative aux produits chimiques, pratique et multiusage, la microfibre défend depuis longtemps sa place au rayon nettoyage. Chiffonnette, lavette, serpillère…, les styles se déclinent à travers une même promesse : chasser la saleté sans danger, sans effort, avec tout juste un peu d’eau au fond du seau. Composée de filaments textiles infiniment plus minces qu’un fil de soie, la microfibre synthétique revendique une image « clean », à l’heure où les ménages et les écosystèmes professionnels affirment leur quête de solutions durables et responsables. Pour autant, entre exigence environnementale et efficacité, est-ce que toutes les offres se valent ? Chez Raypath International, fabricant de solutions de nettoyage en microfibres à mémoire, la réponse dépend naturellement de la qualité et de la garantie produit, à l’instar de n’importe quel consommable : « Il y a certes des dizaines de marques sur ce marché, mais toutes les microfibres ne sont pas à performance égale », observe Christophe de Nardis, directeur des ventes de l’entreprise bruxelloise. Pour le responsable, l’époque n’est plus aux bavardages ; seule la preuve par l’exemple convaincra les entreprises de propreté et les donneurs d’ordre : « diminuer l’impact environnemental en imposant de nouvelles habitudes et de nouveaux modes opératoires implique un engagement de toutes les parties prenantes, et le partage de valeurs communes ».

Du produit à la méthode

Son engagement, Raypath le porte dans la microfibre à mémoire, « un concept spécifique qui marque la différence avec les microfibres classiques, tant dans la performance de nettoyage que dans le confort et la productivité de l’utilisateur », explique Christophe de Nardis, pour qui ces critères sont indissociables. « On ne peut pas concevoir des produits sans considérer les agents qui les utilisent, et qui mettent en pratique la méthode sur le terrain. Des opérateurs dépendent la satisfaction du client, quel que soit le domaine d’intervention. Chez Raypath, nous partons du principe qu’un agent heureux sur son lieu de travail est source de satisfaction et de qualité attendue ». À l’implication des agents dans la « méthode Raypath » s’adjoignent l’expérience et l’efficience produit : des gammes spécifiques selon usage, chacune composées de fibres à mémoire. « Par définition, ces fibres vont se souvenir de la saleté », détaille Christophe de Nardis. « Outre la finesse du tissage permettant d’atteindre les creux infimes des surfaces, la saleté n’est donc jamais transférée d’un support à l’autre. À la différence des produits conventionnels usant de détergent, qui finissent par laisser une couche graisseuse au fil du temps, cette technologie permet donc aux surfaces de retrouver systématiquement leur couleur d’origine, avec une précision telle qu’elle ne demande aucune solution complémentaire ».

Les solutions RAYPATH permettent de retrouver la vraie couleur d’origine des surfaces

Un investissement durable

Balayant le risque de toxicité, favorisant une qualité de l’air plus saine, la microfibre à mémoire remplit également son contrat sur la problématique de l’eau (pas de pollution chimique, économie de ressource…), mais aussi des déchets, ne requérant pas de contenant plastique. Un critère de taille au vu des responsabilités des entreprises en matière de développement durable, et des enjeux vers le zéro plastique. Si la solution est green sous bien des aspects, celle-ci n’a toutefois pas la fibre végétale, concède Christophe de Nardis, posant naturellement la question du recyclage sur la table. « Là où la plupart des microfibres ont une durée de vie très courte, nécessitant de multiplier les achats à court terme, la microfibre à mémoire garantit deux ans d’usage intensif. Rentable et durable, c’est donc un vrai argument anti-gaspi. Au terme de ces deux ans, les produits usagés nous sont remis par l’entreprise de nettoyage en contrepartie d’un avantage commercial lors de la reconduction du projet, puis sont transformés en énergie nécessaire à l’élaboration de nouveaux produits. Rien n’est laissé au hasard et tout est pris en compte dans le processus ».

Une réponse aux besoins sanitaires

Si la microfibre à mémoire se suffit en termes de performance, encourageant davantage l’innovation dans des formats adaptés aux usages du bâtiment que dans le produit en lui-même, ses vertus bactéricides ont également, en cette période de crise sanitaire, une résonnance particulière. Utilisant les molécules d’argent sur l’ensemble de ses gammes, Raypath parie depuis 10 ans sur cette nanotechnologie, que l’on retrouve déjà habituellement dans certains médicaments, composants informatiques, crèmes solaires, emballages, etc. Reconnues et plébiscitées dans le cadre de la suppression de virus, bactéries, champignons pathogènes et autres microorganismes indésirables, leur résultat antiseptique s’ajoute à la performance produit. Un allié non négligeable à l’heure où ces qualités répondent aux injonctions du marché, en matière de réassurance des salariés et de sécurité sanitaire.

Une méthode, une philosophie

A l’heure où les protocoles éco-responsables s’invitent au cahier des charges, savez-vous qu’il existe des alternatives aux méthodes classiques de nettoyage ? Notre réponse réside dans la microfibre à mémoire, une technologie performante et durable qui permet de nettoyer toutes les surfaces lavables d’un bâtiment de façon plus efficace et plus rapide que les microfibres conventionnelles. Sans recours aux produits chimiques, leur usage respecte la santé du personnel d’entretien et l’environnement, tout en diminuant considérablement vos coûts annuels. Car selon nous, les véritables solutions écologiques ne doivent pas coûter plus cher que celles qui polluent. Au contraire ! Grâce à notre activité, nous sommes en tout cas fiers de constater que la diminution des déchets et de la pollution est une réalité dans toutes les enseignes qui ont fait le pas vers notre méthode. Aujourd’hui, 25 minutes suffisent pour juger de l’étendue du concept Raypath, qui une fois mis en place, engendre de multiples avantages sur l’ensemble de l’organigramme de votre établissement. Si vous avez assez d’ambition pour changer, alors vous verrez que vous aurez un tas de raisons de continuer !